msMITIC 2019

SEQ1 Continuité pédagogique

09.06.2020

Eggenschwiler Séverine avatar. Eggenschwiler Séverine

Canevas: Continuité pédagogique
 

Introduction 

Je suis en première année à la HEPL et je suis actuellement en stage B dans un collège sur Lausanne. J’ai deux classes dans lesquelles j’enseigne le sport, une de 7ème, une de 9ème VG. Les maîtres de classe se sont chargés de récupérer toutes les adresses mails de leurs élèves et de savoir s’ils avaient accès ou non à un ordinateur. Cela a déjà bien pris une semaine pour avoir toutes les informations. Les personnes n’ayant pas d’ordinateur avaient la possibilité de s’en faire prêter par l’école. Ce fut le cas pour quelques-uns de mes élèves notamment. A la suite de quoi, il était question de s’organiser et de se mettre d’accord sur un moyen de communication. Il y a eu la mise en place de groupe WhatsApp pour faciliter la communication, mais aussi la création pour ma part d’un compte/groupe classe sur des nouvelles plateformes internet comme Klassroom et Edmodo, avec la possibilité d’avoir tous les enseignants d’une même classe sur une même plateforme. Cela facilite le contact et la communication avec les élèves, cela leur évite de devoir se connecter et créer des comptes sur plusieurs plateforme différentes.

Anticipation 

Pour cet enseignement à distance j’ai créé jusqu’à maintenant trois montages vidéo de plusieurs exercices/défis filmé par les enseignants de sport de mon établissement. Le but étant de faire un montage par semaine, dès le moment où on a eu cette idée. Pour ceci j’ai pu utiliser la compétence Sqily « Montage vidéo : utilisation d’iMovie ». Ces montages sont ensuite mis sur ma chaîne YouTube afin de pouvoir être envoyé aux élèves sous forme de lien.

Pour mener à bien cette activité, il faut que les élèves puissent avoir accès à internet. Que ce soit sur un ordinateur, un natel ou une tablette, c’est complétement égal, il faut juste qu’ils puissent se rendre sur YouTube.

Sur ces trois montages vidéo, il est question d’exercices de coordination, d’équilibre, de condition physique, de chorégraphie et de petits défis à effectuer chez soi, seul ou en famille. Nous avons lancé des défis aux élèves et nous attendons d’eux qu’ils les relèvent, pas tous bien-sûr, mais quelques-uns. Nous les encourageons à s’entraîner à la maison et s’il le souhaite à nous renvoyer une preuve vidéo qu’ils ont bien relevé tel ou tel défi. On aurait la possibilité par la suite de faire un montage par classe ou pour le collège comme chouette souvenir de cette période.  

Pédagogie 

Dans cette séquence, le numérique et l’humain prennent une place toute spécifique. Ils vont tous les deux être très sollicité. Le fait de faire nous-même les défis et les exercices sportifs que l’on demande ensuite aux élèves de réaliser, nous permet de garder un contact spécifique avec eux. Les élèves se sentent alors directement concernés car ils regardent une vidéo où ils connaissent les acteurs. En tant qu’enseignant, on transmet nos connaissances, on essaie de les guider du mieux que l’on peut pendant cette période et on leur montre qu’on a, d’une part, pas peur du ridicule et d’autre part, qu’on ne les a pas oubliés et qu’on attend quelque chose de leur part. L’élève se voit attribuer un rôle concret d’utilisateur car il va regarder les vidéos, mais aussi un rôle de producteur car il va produire les exercices demandés. Il peut également proposer des nouveaux défis et les lancer à ses camarades mais également à ses enseignants. Dans les exercices proposés en vidéos, il y en a pour tout le monde. C’est-à-dire qu’il y a des exercices faciles à réaliser, certains d’un niveau moyen et certains pour les plus avancés. De cette manière chaque élève peut y trouver son compte.

Pour garder la motivation des élèves, j’ai basé les aspects pédagogiques sur « la rosace des sens » (Manuels EPS) dont Magali Descoeudres nous a parlé en MSEPS31 (Schéma en annexe). On y trouve 6 principes qui permettent, si on les suit, de garder la motivation de nos élèves en éveil pendant les cours d’éducation physique. Que ce soit au niveau du défi, de la réalisation de performance, de participation, de la découverte, de la création (nouveau challenge, matériels) et du bien-être, tous les aspects sont perceptibles dans notre projet d’enseignement à distance. 

Planification 

Mes objectifs principaux lors de cette continuité pédagogique sont de maintenir un contact suivi et régulier avec mes élèves, de consolider leur acquis en termes de coordination, équilibre, endurance, et de tonus, de se maintenir en forme. Au niveau du matériel nécessaire, nous avons utilisé des rouleaux de papier toilettes, des paquets de pâtes, des poêles, des ballons, des classeurs, une feuille de papier, des chaises, des emballages de farine, de sucre et de sauce tomate, des bouteilles de lessive, des chaussures, des verres d’eau, une planche à pain, un rouleau à pâte, des peluches, des habits, corde à sauter et un canapé. Nous avons tous utilisé du matériel que nous avons trouvé chez nous, et donc auxquels les élèves pourraient avoir facilement accès. Chaque exercice est presque réalisable avec d’autres objets que ceux que nous avons utilisé. Par exemple au lieu de sauter par-dessus un classeur, on peut remplacer celui-ci par des paquets de céréales ou des boîtes de mouchoirs.

Au niveau du planning, nous avons essayé d’envoyer une vidéo par semaine, le lundi, pour que les élèves aient la semaine à disposition pour effectuer les exercices. Ils peuvent nous poser des questions, nous demander des explications si un mouvement n’est pas compris, ou nous lancer des défis qu’ils ont eux-mêmes inventé.

La plupart des exercices proposés ne demandent pas d’indications spécifiques ou d’explications quant à leur réalisation. C’est l’avantage d’avoir fait une vidéo plutôt qu’un document écrit. Ils voient directement comment l’exercice se fait, et ils peuvent visualiser la vidéo autant de fois qu’ils le souhaitent. Nous sommes ici dans des apprentissages selon la théorie vicariante de Winnykammen & Lafont (1990), qui partent du principe que l’humain apprend beaucoup en imitant, en reproduisant les actions observées chez d’autres humains. Donc faire apprendre et perfectionner des nouveaux exercices en se basant sur l’unique visionnage de nos montages vidéo rentre tout à fait dans ce moyen d’apprentissage.

Chaque enseignant s’est occupé d’envoyé la vidéo à ses classes, que ce soit par mail, par l’intermédiaire d’un groupe WhatsApp, ou directement posté sur la plateforme (Edmodo et Klassroom). Pour ma part j’ai envoyé le lien par ces trois moyens. Ayant 2 élèves qui n’ont pas WhatsApp et certains qui ne voient pas tous les messages publiés sur Klassroom, j’ai préféré envoyer sur tous les canaux pour être sûr que chaque élève puisse y accéder.

Déroulement et évaluation 

Pour le déroulement au niveau des enseignants, la différenciation est mise à l’honneur. Comme l’a dit Legrand en 1973, « La pédagogie différenciée est une approche des individus sous l’angle de leurs différences » Donc plutôt que de donner, par semaine, deux à trois exercices obligatoires à réaliser par tous les élèves, nous avons préféré offrir le choix. En leur laissant cette liberté, on leur donne la possibilité de choisir des exercices où ils se sentent à l’aise, mais aussi que des exercices qui pourraient les mettre en difficulté et les challenger. Il s’agit pour les enseignants de proposer des exercices avec des niveaux de difficultés différents, des mouvements ainsi que du matériel différents pour que chaque élève trouve dans la vidéo des activités et des challenges qu’il peut relever. Les exercices doivent être diversifié de manière à avoir des mouvements de conditions physique, d’équilibre, de coordination, de rapidité, de tenue du corps etc.. L’enseignent peut décider de parler dans sa vidéo pour expliquer un mouvement, ou de faire des geste spécialement lents et ciblés pour l’exercice en question. Une fois que chaque enseignant s’est filmé, il faut une personne qui se charge de faire le montage vidéo à l’aide d’IMovie ou d’un autre logiciel qu’il maîtrise. Il faut par la suite avoir un compte YouTube public pour pouvoir y déposer la vidéo afin qu’elle soit accessible pour tous les élèves et enseignants. Enfin, il s’agit simplement d’envoyer le lien aux élèves, que ce soit par mail, par WhatsApp ou à l’aide de n’importe quelle autre plateforme. Les instructions à donner sont que chaque élève doit relever des défis présents dans la vidéo. Pour ce fait ils peuvent soit se filmer et envoyé ensuite à leur enseignant, soit noter leurs records obtenus pour tel ou tel exercice. Par exemple un élève peut noter qu’il a tenu 4 minutes en position de la chaise, qu’il a réussi à faire 50 pompes de suite, ou encore qu’il a réussi le défi du Bring Sally Up jusqu’à la minute 2’33. On peut dire que c’est un enseignement en one to one car chaque élève va regarder la vidéo depuis chez lui.

Le premier montage vidéo dure 16,17 minutes. Tous les enseignants avaient beaucoup d’idées à proposer aux élèves, notamment des chorégraphies. Mais après réflexion c’est un peu trop long, et je ne suis pas sûr que tous les élèves aient regardé la vidéo en entier. Les deux montages suivants ont donc été raccourci, avec d’abord un peu moins d’exercice, et la possibilité d’en mettre certains en accélérer sans que cela ne soit gênant. Les deux autres font donc 4,30 minutes et 4,23 minutes. Ces deux temps sont l’équivalent, en termes de durée, de ceux des clips musicaux disponibles sur YouTube et regardé par les élèves. Ils sont donc beaucoup plus adaptés pour être regardé par le plus grand nombre. 

La 2ème vidéo contient un challenge général, il s’agit du Bring Sally Up en squat. Pour réussir le challenge, il suffit d’écouter la musique en entier, et de descendre en position de squat à chaque fois que le mot « down » est prononcé, et de se remettre en position debout lorsque le mot « up » est dit. Si la personne tient du début à la fin de la chanson, elle a réussi le challenge.

Les retours que nous avons eu des élèves étaient très positifs. D’une part ils ont trouvé très drôle les vidéos, et les déguisements que nous avons mis les ont fait beaucoup rire. Nous avons reçu pas mal de vidéos en retour de leur part, certains faisant les exercices tout seul, et d’autre en famille. Et nous avons également reçu des nouveaux challenges lancé par nos élèves. Ceux qui ne nous ont pas envoyé de vidéo nous ont envoyé leurs meilleurs scores effectués pour une série de mouvements. Tous ces retours nous ont donc permis de voir leurs acquis, et d’avoir des preuves de leurs apprentissages à distance.

Bien sûr nous ne pouvions pas vérifier que tous les élèves fassent activement les exercices proposés, et il est difficile de motiver les élèves qui de manière générale à l'école en présentielle ont déjà de la peine à participer. Mais dans l'ensemble, entre les retours que nous avons eu de tous les collègues, il y a quand même une bonne majorités des élèves qui ont travaillé leur condition physique durant cette période de confinement, et qui ont profité de nos vidéos pour le faire. J'ai personnellement une élève pas très sportive qui m'a même dit qu'elle avait perdu du poids durant cette enseignement à distance et que les vidéos l'avaient bien fait rire et bien motivée à s'y mettre. Si nous avons réussi, parmi les élèves pas sportifs, à en motiver serait-ce qu'un ou deux, c'est déjà une bonne victoire sachant qu'ils n'avaient pas la même pression qu'en classe où ils se sentent obligés de le faire.

Parmi les retours des étudiants, une collègue a reçu par Email d’un élève, le challenge de faire 200 pompes en un temps record. Un autre a reçu une vidéo en réponse à notre montage du Bring Sally Up (tenir en squats à chaque fois que la musique dit « Bring Sally down », nous demandant si nous arrivions aussi à faire le même challenge mais en position de pompe au lieu des squats. Une de mes élèves de 7ème a posté une vidéo sur notre groupe sur Klassroom en mettant le nombre de squats qu’elle avait réussi à faire en une journée et nous défiant de faire mieux. Pour des raisons de droit à l’image je ne peux pas partager de vidéo, mais voici en annexe deux captures d’écran de différents postes sur Klassroom.

Cet enseignement à distance est certainement quelque chose de compliqué à mettre en place ! Notamment car tous les élèves n’ont pas les mêmes accès aux ressources. Que ce soit les téléphones portables, les IPad/tablettes ou les ordinateurs, les situations ne sont pas les mêmes dans toutes les familles. Sans parler de la place à disposition dans les maisons et dans les appartements de chacun, les endroits au calme pour travailler et réviser. Mais ce n’est pas tout, car c’est une chose d’être à l’école et de devoir travailler en classe, mais c’est complétement différent de devoir le faire à la maison, tout seul pendant 6 à 7 semaines. Le fait de se mettre au travail tout seul en dehors d’une salle de classe demande beaucoup de motivation et de self-control. En classe, il n’y a rien d’autre à faire que de travailler, c’est un endroit prévu pour. Mais à la maison il y a tellement d’autres choses à faire qui sont à portée de main (manger, lire, jouer à l’ordinateur, regarder un film, jouer avec ses frères et sœur etc..) qu’il faut réussir à se conditionner pour s’asseoir à une table pour travailler. C’est pour cette raison qu’un des effet de l’enseignement à distance pourrait être l’augmentation de l’autonomie des élèves. Ils ont dù apprendre, durant ces semaines, à être autonome pour effectuer le travail demandé, sans avoir d’enseignant à disposition comme en classe, et sans qu’un professeur ne le rappelle à l’ordre dès qu’il s’évade un peu lors de la rédaction d’un devoir. Deuxièmement la prise de responsabilité ! Toute cette situation liée au Covid-19 aura au moins été influente pour responsabiliser les gens, et donc les élèves. Que ce soit au niveau des gestes à intégrer pour éviter la propagation du virus, de la responsabilité à ne pas aller voir ses grands-parents pour ne pas prendre de risque, ou de continuer le travail que l’école leur demande, les élèves ont dû prendre leurs responsabilités au sérieux et agir correctement. Et troisièmement, je pense que le fait de passer à l’enseignement numérique aura eu un impact positif sur les élèves qui n’étaient pas très à l’aise avec l’informatique et les applications de traitement de texte, car ils auront été obligés de travailler avec et donc de s’améliorer dans ce domaine, et de se familiariser avec ces moyens numériques. De même pour les enseignants qui n’avaient pas pour habitude d’utiliser ces moyens numériques, et qui n’ont eu d’autres choix que de s’y faire. Il y a tellement de possibilité pour les utiliser que certains professeurs pourraient les intégrer à leurs futurs enseignements, comme par exemple, des quiz en ligne ou des petits jeux.

Il y a forcement des effets plus négatifs, comme la perte du côté social qu’on trouvait à l’école. On ne peut pas comparer une conversation par email avec une vraie conversation en face à face, au même titre qu’une séance de sport entouré de ces camarades contre une séance tout seul dans sa chambre. Il y a des choses, telles que les explications ou les corrections qui se font beaucoup plus naturellement et beaucoup plus rapidement en face à face car on peut directement modifier ses propos ou en ajouter si on voit que la personne ne comprend pas les explications. Pour nos vidéos nous avons choisi des exercices qui ne demandent pas trop d’explications, et qui peuvent être compris simplement en regardant la vidéo, pour que les élèves ne soient pas découragés à devoir lire des consignes en plus. Des autres aspects comme le respect des autres, la politesse, créer un esprit d’entraide et d’amitié apprendre à prendre la parole et à s’exprimer font partis des enseignements de l’école. Mais ils sont très difficiles à mettre en place et à développer concrètement en enseignement à distance.

Pour nous les enseignants, il y a beaucoup de messages et d’émotions que l’ont fait passer par la parole, les gestes et les postures lorsque l’on se tient devant une classe, et tout ceci n’est pas possible, ou du moins beaucoup moins évident, par le biais du numérique. C’est un défi de taille d’être à l’écoute de tous nos élèves et de les aider chacun au mieux, par le biais de l’enseignement à distance. Certains vont comprendre très rapidement comment les plateformes informatiques fonctionnent, et instinctivement ils vont trouver les exercices en ligne et les différents moyens de les effectuer, alors que d’autres ne font pas réussir à relever leurs mails. Pour tout ce qui est du suivi des travaux des élèves, il faut également trouver un moyen pour noter quel élève à fait quel travail, qui est en retard dans les documents à rendre, à qui il faut envoyer sur deux adresses mails différentes et qui est joignable uniquement par WhatsApp. Suivant le nombre d’élèves qu’on a, ce n’est pas évident à suivre. En classe c’est simple, on regarde qui a fait les devoirs et on note directement dans les agendas, alors que là on ne reçoit pas tous les devoirs en même temps et on doit répondre à chaque élève individuellement. 

Comme piste de régulation, il y aurait le fait de programmer par exemple un rendez-vous sportif par semaine avec ces classes. Par exemple avec une classe, faire un skype tous les jeudis à 11h pour faire une séance de condition physique, et la fois d’après une séance de cardio etc. Cela permettrait d’avoir un rendez-vous fixe et les élèves savent qu’à ce moment-là ils ont un cours de sport. Cela permettrait aussi de garder un contact en vidéoconférence avec nos étudiants, de les voir et qu’eux puissent aussi se voir un peu comme dans une salle de classe. Mais il faut trouver un moment ou tout le monde est disponible, avec un accès à un ordinateur et ça ce n’est pas évident, et il faut que chaque élève se crée un compte ce qui n’est pas forcement toujours recommandé.

Éducation aux médias 

Il y a beaucoup de choses sur internet, et y envoyer des élèves sans contrôle parental n’est pas forcement très sécurisé. C’est pourquoi nous avons avec nos vidéos, envoyé le lien directement aux élèves. Ils n’avaient donc pas à chercher les vidéos sur internet, mais simplement à cliquer sur les liens qui les conduisaient directement aux vidéos. Cela leur évitait de faire des recherches et de trouver des vidéos que nous n’aurions pas préconiser. Nous avons tourné nous-même les images que nous avons diffusées et chaque enseignant était conscient que sa vidéo allait être transmise et publiée publiquement sur YouTube. De cette manière, les droits d’auteurs et le droit à l’image sont respectés. Et c’est pareil pour les vidéos reçues de nos élèves, on ne va pas les publier ou les montrer s’ils ne nous ont pas donné l’autorisation de le faire.

Pour chaque exercice fait dans la vidéo, il y a soit une consigne orale qui est donnée, soit les objets utiles à la réalisation de l’exercice sont spécifiquement montrés, ou alors le challenge de demande pas d’explications supplémentaires que le simple visionnage de l'activité en question.

D’une part chaque élève peux choisir les exercices qu’il souhaite réaliser, et d’autre part des exercices de différents niveaux et de différents types sont proposés, ce qui permet à chaque élève d’y trouvé son compte. C’est notre manière de rendre les devoirs accessibles à tous les étudiants, qu’ils soient en situation normale ou à besoin particulier. De plus, chaque élève peut contacter son enseignant pour des éventuelles questions, qu’elles soient basées sur l’incompréhension d’un exercice, ou pour des informations ou conseil quant à la réalisation de ceux-ci. Chaque élève devrait donc être dans la mesure de réaliser quelques exercices, et de se maintenir en forme pendant cette période de « presque » -confinement.
 
Traces
Voici en lien les 3 vidéos postées jusqu’à maintenant :
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