msMITIC 2019

Séquence continuité pédagogique

16.12.2020

Simon Noble avatar. Simon Noble

Introduction

La situation que nous avons vécue avec le coronavirus fut très particulière. Nous avons dû faire face a des données nouvelles qui était imprévisibles. Elle nous a forcé à modifier nos habitudes et à travailler différemment.
Le cadre général, dans lequel je me suis trouvé en début de confinement, fut le suivant : j'enseigne le français à une classe de 10ème année VG1, la géographie et l’histoire à une classe de 10VG.

Jusqu'avant le confinement, nous travaillions sur différents aspects en français. Nous avions tout d'abord la base du français, telle que la conjugaison, le vocabulaire ou encore les dictées. En parallèle, la lecture donnait naissance à plusieurs types de travaux comme la compréhension de texte ou également le vocabulaire. Finalement nous avions la grammaire à travers laquelle nous traitions plusieurs sujets comme le discours rapporté direct le texte argumentatif et le texte explicatif.

Au début du confinement, j'ai tenté de maintenir le programme tel qu'il était. J'ai donc envoyé à mes élèves les tranches de lecture à effectuer, les questionnaires liés à la lecture, envoyé des audios pour les dictées et le vocabulaire et transmis les informations pour la conjugaison.
En ce qui concerne la grammaire nous travaillions à cette époque le texte argumentatif et explicatif. Je leur ai donc demandé de produire à une rédaction sur la thématique du coronavirus.

Après quelques semaines de travail de cette façon, j'ai vite pris conscience qu'il fallait que je change de méthode: le nombre de mails pouvait atteindre jusqu'à 80 par jour, les élèves étaient souvent perdu·es, le nombre de documents importants, et un suivi qui devenait de plus en plus difficile.
J'ai donc décidé que pour tout ce qui était de l'ordre du vocabulaire, conjugaison, dictée ou lecture, je transmettrais les informations et les corrigés aux élèves via "educanet » pour qu’ils et elles puissent eux-mêmes et elle-même avancer à leur rythme.
En ce qui concerne la grammaire j'ai décidé de profiter de cette situation de confinement et des injonctions du département qui nous demander de ne pas travailler sur de nouveaux nouvelles thématiques pour proposer à mes élèves une nouvelle façon d'aborder le français.

J'avoue ne jamais avoir été quelqu'un de très attiré par la technologie et les outils informatiques. Je pense en effet que les élèves sont beaucoup trop souvent face à des écrans, les ordinateurs et il me semble dans ce sens que de les éveiller à autre chose que du numérique est important. Si je me permets une telle remarque qui, ne va pas me faire gagner des points, c'est que le confinement m’a permis un changement de point de vue non négligeable à ce sujet. En effet, j'ai été encouragé, pour ne pas dire forcer par la situation, à utiliser des nouveaux outils. Je me suis vite rendu compte de l'intérêt que pouvait permettre ses applications. Conscient que l'enseignement traditionnel frontal, ou face-à-face, ne pouvait avoir lieu, je devais trouver d'autres façon de travailler. La bonne vieille fiche ayant elle-même ses limites, j'ai décidé de proposer à mes élèves une nouvelle méthode de travail.
C'est à travers la didactique de géographie enseigner à la HEP, que j'ai trouvé mon inspiration : la pédagogie par projet.
J'ai donc proposé à mes élèves de traiter la question du texte argumentatif et explicatif alternativement. Chaque semaine, durant 3 semaines, ils et elles devaient trouver un sujet à traiter et un support pour le traiter. les élèves étaient complètement libres quant au support à utiliser pour réaliser l'exercice. La seule règle que je leur demandais était de varier les supports. Il ne leur était pas possible d'avoir deux fois le même support. Dans ce sens si le premier projet avait pour sujet une question environnemental et était réalisé à l’aide d’un texte, le deuxième sujet devait aborder une autre thématique et un autre support.

Un autre élément qui était nécessaire et que j’exigeais pour cet exercice, était que la thématique devait être traitée de façon explicative et argumentative. Par exemple, j'ai pris le cas d'une recette de cuisine. L’explication peut se faire par exemple sous forme de recettes de cuisine avec des dessins ou des photos. La partie argumentative doit permettre à l'élève d'explique pourquoi il ou elle a choisi cette recette, quel est son intérêt, quels sont ses avantages ou éventuellement ses inconvénients, pourquoi a-t-il choisi telle ou telle substance, pourquoi a-t-il ou a-t-elle choisi ses ustensiles, cette façon de le faire et pas une autre.
De cette façon les élèves peuvent travailler la différence entre un vocabulaire du type explicatif qui ne demande pas de donner son avis mais qui suppose simplement de donner suffisamment d'éléments pour que le lecteur ou la lectrice soit capable de reproduire ce qui a été fait.
Puis d'un autre côté le texte argumentatif leur permet de comprendre comment justifier leurs choix et comment essayer de convaincre autrui que ses choix sont les meilleurs. Dans ce sens et de façon intéressante, il m'a été possible de travailler les objectifs du PER, de maintenir mon alignement pédagogique avec ma séquence générale et mon thème de la grammaire, tout en stimulant de façon importante des compétences transversales, qui sont trop peu souvent utilisées et stimulées lors des cours traditionnels.
Les outils informatiques ont permis à chacun et à chacune de mes élèves d'aborder une thématique en mobilisant de réelles compétences individuelles, qui sont souvent peu sollicitées dans l'école traditionnelle. C'est cela que j'ai retenu et qui a changé radicalement ma façon de considérer les MITIC, Autrement dit ces outils permettent à chaque élève de montrer où est-ce qu'il ou elle est compétent, et de leur montrer qu'il est possible de compiler un enseignement pédagogique avec des outils que les élèves maîtrisent déjà. En outre cela permet de travailler avec le renforcement positif dans la mesure où l'élève travaille une compétence de français mais à travers un support qu'il peut découvrir si il le souhaite ou qu'il connaît déjà en ayant du plaisir

Avant de me lancer dans ce projet j'ai d'abord dû vérifier que tous les élèves avaient accès à une connexion Internet ainsi qu’à un ordinateur ou un smartphone. Cela dit, comme j'étais déjà en contact avec ma classe via mail j'étais déjà certain que chacun et chacune avait accès au matériel. Je leur ai donc envoyé un document (annexe 1). Qui comprenait toutes les informations pour mener à bien leur projet. Un élément essentiel que j'ai indiqué dans ce document était la diversité des possibilités qu'il pouvait choisir pour le support. En effet il était possible de s'enregistrer, de se filmer, de filmer quelque chose, de dessiner, de créer un PowerPoint, de faire de la peinture, de chanter, de faire de la création avec du bois ou un autre matériaux, etc. La seule limite était leur imagination.

J'ai été extrêmement surpris du nombre important d'élèves qui ont produit des créations très intéressantes et originales.
Un constat qu'il est possible de tirer de cette expérience et que les élèves qui ont la possibilité de choisir un sujet et la façon dans le traité parviennent à stimuler leur curiosité, leur capacité à créer, et à imaginer des façons différentes de réaliser un texte.

Utilisation des MITIC
Plusieurs exemples (annexes 2) ont été donnés aux élèves afin d’illustrer l’utilisation possible des différents programmes. J’ai réalisé plusieurs tutoriels afin de leur permettre de les utiliser, notamment pour l’utilisation d’iMovie, de QuickTime Player (pour utiliser entre autre la fonction qui permet de filmer son écran), la fonction de commentaires audio avec PowerPoint, Istopmotion (pour la réalisation de films animés) et l’utilisation de la caméra d’un smartphone. Par ailleurs, les élèves ont été encouragé·es à travailler sur des projets artistiques, ou informatiques.

Constats du processus et analyse pédagogique
Cette situation spéciale m’a permis d’expérimenter une nouvelle dimension du travail d’enseignant.
J’ai pu tirer trois conclusions:
La première est qu’ils et elles sont déstabilisé·es dans l’exercice de leur métier d’élèves. Ils et elles ne sont pas habitué·es à devoir travailler en utilisant leur imagination avec un cadre si largement ouvert, et ce durant un cours de français. Dans ce sens, ils et elles auraient besoin d’un accompagnement plus intense. Il serait important de pouvoir reprendre le guidage (Brunner) avec elles et eux pour ce genre d’exercice, dans le but de leur leur permettre de se sentir mieux accompagné·es et moins laissé·es à elles et eux-seul·es. Dans ce sens, il est possible de considéré que les MITIC pourraient les aider à solliciter leur imagination à l’aide d’outils qui invitent à créer. En effet, la feuille blanche est un syndrome bien connu. L’interaction avec des interfaces attractives peuvent stimuler cette partie des élèves.

La deuxième est que le travail à distance complexifie les choses, dans la mesure où les élèves n’ont pas de retour de ma part, comme habituellement. Il est fort probable que de les lancer dans un exercice nouveau, sans pouvoir leur faire des retours réguliers, sans qu’ils et elles puissent venir demander une validation de leur travail à l’enseignant·e, les déroute passablement.
Dans ce sens, la nouveauté est le confinement. Comme la cheffe du département l’a rappelé lors d’un courrier, il ne faut pas introduire de nouveauté. Demande que j’ai respectée en ayant en tête la nouveauté comme connaissance de français, comme élément de savoir, et non comme méthode de travail ou comme outils de travail (comme les programmes informatique). Cela dit, la méthode de travail allait forcément être différente, et ses outils aussi. Il y a là une tension entre le mode d’enseignement qui change obligatoirement, la réalité qui nous oblige à changer et la mise en place de ces changements, la mise en oeuvre concrète qui doit se faire de telle manière que les élèves se sentent accompagné·es, qu’ils et elles puissent trouver des repères.
On peut donc supposer que, ne se sentant pas assez encadré·es, voire perdu·es, une partie aura tendance à désinvestir le travail, plutôt que de trouver des solutions (comme par exemple me solliciter). Une fois de retour en classe, beaucoup m’ont dit ne pas avoir compris les exercices. J’ai pris un moment de discussion avec elles et eux pour les encourager à dire s’ils et elles n’avaient réellement pas compris ou si cela était dû à un manque d’envie de travailler (en précisant, que les notes étant terminées, cela n’aurait aucun impact sur leurs moyennes, me caresser dans le sens du poile ne servirait à rien).
Malgré cela, beaucoup ont réaffirmé l’incompréhension du travail. Or, je ne crois pas que mes exercices aient été particulièrement difficiles à comprendre. En outre j’ai veillé à fournir suffisamment de matériel pour que les outils informatiques ne soient pas un soucis, mais bien au contraire une aide.
Je suppose plutôt que l'apprentissage nécessite l'appropriation et l'usage d'outils matériels ou sémiotiques, construits par les générations précédentes, comme nous le montre l’approche du Behaviorisme. Cette appropriation est possible grâce au guidage d’un·e expert·e, une personne qui maîtrise ces outils. L’enseignant·e joue donc un rôle essentiel, qui à travers la situation du confinement n’a pas été possible. Dans ce sens, les élèves, laissé·es à eux et elles-mêmes se sont heurté·es à une difficulté qui n’émanait pas de l’exercice, mais qui venait du fait de se retrouver seul·e face à la tâche. Cela se confirme par l’expérience traditionnelle: combien de fois, les élèves posent des questions auxquelles ils et elles peuvent répondre seul·es? Il s’agit bien ici d’un besoin d’être validé·e dans sa tâche.
Pour finir sur ce deuxième point, je voudrais faire le lien avec la question de l’apprentissage autodidacte, qui peut être particulièrement présente dans l’informatique. Je pense, mais sans base théorique, que lorsqu’on a une cane ou une corde avec laquelle s’aider, on va avoir tendance à l’utiliser. Indépendamment de savoir si on en a besoin.
Dans ce sens, je perçois chez certain·es élèves qui ont apprécié le travail durant le confinement et qui ont su utiliser à bonne escient les outils informatiques, un lien avec leur capacité à travailler seul·e, de façon autodidacte justement. Autrement dit, la compétence de se débrouiller seul·e aurait été bénéfique durant ce confinement.
Finalement, le troisième conclusion est qu’il y a une superposition des nouveautés. Si on demande aux élèves de dessiner tranquillement à la fin d’un cours, toutes et tous s’appliqueront avec plus ou moins de conviction à ce travail. De même, si on leur demande de faire un texte argumentatif, cela ne posera que peu de problème quant à la question de la méthode.
En revanche, si on demande aux élèves de faire un dessin argumentatif ou de faire une vidéo explicative, la superposition des deux consignes, un peu incongrues j’en conviens, mais de loin pas irréalisables, semble les bloquer, parce que justement, ce n’est pas dans les codes sociaux. En outre, personne ne les a habitué·es à réaliser une telle tâche.

C’est dans ce sens qu’ils et elles sont en dehors de leur zone proximale de développement. Un meilleur guidage, peut-être un travail de préparation en amont, aurait pu réduire l’incertitude développée par les élèves lors de cet exercice.
A cela s’ajoute la nécessité de pouvoir leur permettre de construire une confiance en elles et eux, afin qu’ils et elles puissent apprendre à se débrouiller seul·e. Dans ce sens, la réalisation d’exercices qui ne seraient ni justes, ni faux, leur permettrait de travailler sur la satisfaction de comprendre, et non plus l’unique résultat qui, validé par l’autorité institutionnelle, leur donne de la légitimité. Autrement dit, il s’agit de travailler à permettre aux élèves de trouver de la légitimité dans ce qu’ils et elles font, et non pas au regard unique d’un résultat plus ou moins normatif.

Conclusion
On peut donc conclure que le travail avec les MITIC a un rôle paradoxal: il a probablement déstabilisé certain·es et rassuré voire permette une émancipation d’autres. Il donc important lors de l’utilisation de ce outil de pouvoir accompagner les élèves. Cela montre bien que les MITIC fonctionnent de la même façon que les autres savoirs: les élèves ont besoin d’être guidé·es et de pouvoir comprendre le sens tout en imitant un exemple.

La conclusion de ce confinement en lien avec les MITIC est qu’ils ont permis aux élèves de travailler sur des branches de façon différente. Ils leur ont donné la possibilité de faire le lien entre différentes compétences, de travailler un sujet de grammaire avec un autre regard que le traditionnel livre de classe, sans avoir une « fiche » à remplir. 
Dans ce sens, la dimension ludique et stimulante des MITIC qui me laissent songeur, pas parce que l’école ne doit pas être drôle ou stimulante, mais parce que j’ai le sentiment que les élèves sont constamment stimulé·es et ne supportent pas une activité qui ne soit plus « fun », m’est apparu sous un jour nouveau. J’y ai découvert des outils qui permettent aux élèves de faire du sens, c’est-à-dire de faire des liens entre les compétences qu’on leur demande de travailler. Les MITIC sont ainsi des moyens de rendre intelligible et visible le système qu’est l’école. Système car toutes les apprentissages sont reliés les uns aux autres pour donner un tout cohérent. 

Annexes

Annexes 1: mail aux élèves avec explications
Bonjour à vous toutes et tous, J’ai pris le temps de réfléchir à comment organiser la suite de cet enseignement à distance. S’il est difficile de contenter tout le monde, il y a une chose qui est sûre: je ne suis pas satisfait de ce que j’ai mis en place. Il m’est difficile de vous donner un cours comme d’habitude. Je ne peux pas avoir la même interaction avec vous, je ne peux pas vous expliquer pourquoi j’ai corrigé comme ceci ou comme cela, pourquoi tel exercice doit être fait ainsi. Bref, je change de méthode!
Donc voici ce que je vous propose: pour les vocs, la conjugaison, les dictées etc, nous continuons comme d’habitude, sauf que le travail sera sur Educanet, avec les corrigés (que je mettrai un jour plus tard, bien entendu). Vous serez donc autonome, dans ce travail. A ce titre, vous trouverez le corrigé de la dictée du Comte Dracula sur Educanet, ainsi que la dictée du voc 19-20 à faire mardi. Je mettrai le corrigé mercredi sur la plateforme. Vous serez averti·es de ce que je mets sur la plateforme par mail.
Vous trouverez les documents dans les « classeurs » sous « français niveau 1 Simon Noble ». Et puis nous allons continuer à travailler sur le thème de l’argumentation et de l’explication. Mais autrement: vous aurez, pour les 3 prochaines semaines de cours (soit une semaine avant les vacances et trois semaines après), une création par semaine à faire. Je vous laisse choisir librement le thème. Mais j’impose quelques consignes: 3 thèmes différents, un pour chaque semaine: attention, vous ne pouvez pas faire une création sur un jeu vidéo une semaine et une autre création la semaine suivante sur un autre jeu vidéo. Le jeu vidéo est un thème en soi. En outre, je veux connaître vos thèmes avant que vous ne commenciez à réaliser votre travail.
3 supports différents: vous devez utilisez votre créativité. Vous ne pouvez utiliser l’écrit qu’une seule fois (et vous n’êtes même pas obligé·es). Utilisez d’autres façons d’expliquer un sujet et de donner votre avis, comme par exemple le dessin, la vidéo, la chanson, la création de tutoriel, le bricolage, la peinture, le photo-roman, c’est égal, choisissez 3 façons différentes d’expliquer un sujet et de donner votre avis. Avant de réaliser votre votre création, vous devez faire un plan. Il peut tenir sur une une demi-page A4, avec les points principaux de la partie explicative et de votre argumentation. Ce plan doit m’être rendu avec votre création. J’insiste sur ce point. C’est un élément important dans la création d’une argumentation et de façon générale, sur la création de toute chose: savoir ce que vous voulez faire, comment vous allez vous y prendre par où vous commencez et par où vous finissez.
Vous devez me rendre (par mail ou en utilisant la plateforme swisstransfert.com) le dimanche soir, le travail de la semaine, ainsi que le thème et le format pour la semaine suivante. Les échéances sont indiqué·es dans le calendrier ci-dessous. Il n’y a pas de pages minimum, de nombre de mots, de nombre minutes nécessaires à vos créations. Seulement, vous devez être capables de présenter une première partie explicative et une deuxième partie argumentative. Si le travail va bien, je ne vous ferai pas de commentaire chaque semaine. Je vous ferai un retour général après les 3 productions. Par contre si un travail est mal fait, ou vraiment insuffisant, il devrait être refait.
Calendrier:
Lundi 6 avril (demain) avant midi: thème et support de votre 1ère création; Au plus tard: dimanche 12 avril midi: votre 1ère création ET le thème et support de votre 2ème création; Au plus tard: dimanche 3 mai midi: votre 2ème création ET le thème et support de votre 3ème création; Au plus tard: dimanche 10 mai midi: votre 3ème création ET le thème et support de votre

Si le dimanche soir, vous n’avez pas reçu de mail de ma part, c’est que votre thème et votre support est en ordre pour moi et que vous pouvez y aller. S’il y a un soucis (soit avec le thème ou avec le support), je vous enverrai un mail avant lundi matin. Si vous avez des questions ou besoin d’aide, je suis complètement disponible pour vous aider. Si vous êtes complètement perdu·es, faites-moi un mail, ne restez pas seul·e avec vos questions.

Annexe 2: tutoriels ou exemples transmis aux élèves pour les inspirer et les aider dans la réalisation de projet chez elles et eux

Utilisation de la caméra d’un smartphone:
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Utilisation d’iMovie pour monter plusieurs vidéos avec ou sans son
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Utilisation d’Istopmotion pour la création de films animés
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Utilisation de la ressource que j’ai crée pour MSMITIC SA 2019: utilisation du commentaire audio sur PowerPoint
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Utilisation de QuickTime Player pour se filmer ou filmer son écran
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Annexe 3:  traces des productions des élèves

Réalisation d’une recette à l’aide d’une caméra mobile
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Réalisation d’un manga sur papier
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Réalisation d’un Powerpoint
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Réalisation de broderie sur un Jeans de seconde main
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Travail réalisé sur Keynote
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Vidéo sur le PSG, réalisée à l’aide de QuickTime Player
Capture d’écran 2020-06-18 à 13.24.18.png 2.13 MB

Réalisation de peinture et dessin aux feutres à alcool
Claudia1.jpg 1.29 MB
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