msMITIC 2019

SQILY: SEQ2: "la création d’une Mind-Map numérique pour l’analyse de texte"

08.06.2021

Francesco M. Bucciarelli avatar. Francesco M. Bucciarelli

Contexte

Introduction  - l'importance et l'utilité des technologies à l'école

Dans le cadre du cours-séminaire MSNUM, il nous fallait développer une séquence d’enseignement en empruntant aux MITIC des possibilités nouvelles et de sensibiliser nos élèves à l’utilisation de ces outils, ô combien importants à notre époque. En effet, les technologies audiovisuelles n'ont cessé d'évoluer depuis les années 1960 et l'explosion d'internet et des systèmes de réseaux dans les années 90 n'a fait que renforcer cette tendance (Boéchat-Heer & Wentzel, 2012). Ces technologies se sont progressivement imposées comme principal outil de communication et il est impensable aujourd'hui de trouver un domaine dans lequel ces dernières ne sont pas omniprésentes. L'école n'est donc pas en reste vis-à-vis de ces nouveaux outils et il semble capital d'aménager une place aux MITIC dans la formation et la sensibilisation de la nouvelle génération, d'autant que cette génération, les digital natives ou ici génération Z, est déjà composée de grands utilisateurs et consommateurs de ces nouvelles technologies (Fourgous, 2011). Ainsi, là où ces outils ont changé la face de bien des professions, ils représentent, non uniquement pour les élèves, mais bien pour les enseignants, une opportunité de transmettre des savoirs d'une nouvelle manière, de sortir des carcans "classiques" de l'enseignement pour découvrir des possibilités inédites ou retravaillées (Denouël, 2017). 

Comme nous l'avons donc mentionné en introduction, les nouveaux outils numériques offrent des ressources pédagogiques innovantes : renouvellement des créations d'élèves, supports solides d'apprentissage et d'exercice, plateformes de partage intra et inter classes, etc. Toutefois, il nous faut garder en tête la primauté du rapport pédagogique que nous devons entretenir avec ces outils (Denouël, 2017). Ces derniers ne sont pas là pour remplacer ou le travail de l'enseignant, mais ils sont à son service ; il faut impérativement réfléchir l'usage des technologies et en expliquer aux élèves le sens et les finalités, au risque de tomber dans une utilisation techno-centrée qui en efface la réelle utilité pour les apprentissages.

De ce fait, nous sommes invités dans ce séminaire à réfléchir à une séquence d'enseignement qui soit empreinte de ces outils numériques, mais dont la finalité est avant tout lié à une didactique disciplinaire. Il nous convient donc, à travail cet article, de venir présenter un outil et son intégration dans une séquence didactique, modèle privilégié ici pour son dynamisme car réajustable et adaptable à des niveaux différents. La séquence qui sera présentée ci-dessous portera donc sur un concept de la didactique du français, l'explication de texte et notamment l'assimilation des parties constituantes d'un ouvrage (personnages, relations, actions, lieux, etc.), et sera mise en œuvre sous la forme d'une carte heuristique, sorte de représentation concrète des schémas et liens mentaux, ici narratifs, afin d'offrir une vision globale des ouvrages travaillés en classe au fil de l'année.

Pour établir cette séquence, j'avais d'ores et déjà l'idée de partir sur le concept de la carte heuristique en ce qu'il est très pratique pour aborder avec les élèves des résumés complets d'ouvrages. J'avais déjà eu vent de quelques collègues de l'établissement du Vaudaire à Renens, qui utilisaient des tableau interactifs pour réaliser cet exercice avec les élèves en classe, mais il me semblait que cet usage en séance purement plénière était un peu limité. J'ai alors discuté avec un collègue qui m'a redirigé vers quelques applications en ligne, sans être extrêmement convaincu. J'ai alors remarqué que Sqily présentait une compétence sur la question et en m'intéressant un peu à cela, j'ai découvert un outil tout à fait intéressant.

 Il convient donc de présenter cet outil et d'expliquer comment j'en suis arrivé à l'utiliser en classe avec les élèves. C'est à partir de la ressource en ligne Framindmap que nous allons travailler, un site internet permettant de générer gratuitement des Mind-Map en ligne, de les partager, de les modifier à plusieurs et de les importer pour pouvoir les imprimer par la suite. Le lien du site en question est le suivant : https://framindmap.org/c/maps/ .

Homepage du site Framindmap


Il est possible, à travers cette application, de créer des Mind-Map complètes en y ajoutant des nœuds, classés par ordre d'importance, des éléments individuels et les liens qui sont établis entre eux. En outre, le site offre nombre de possibilités de personnalisations des cartes heuristiques : l'on peut modifier la couleur et la forme des noeuds et des liens, incorporer des icônes parmi une sélection proposée par le site, modifier les polices d'écriture. L'on peut encore insérer des liens externes qui permettent d'être redirigé vers des sites internets divers et variés et il est même possible d'ajouter des notes à certains éléments des cartes heuristiques, fonctionnalité extrêmement utile pour faire des retours aux élèves directement sur leurs travaux. Le site est passablement facile à prendre en main, étant donné que les fonctionnalités sont réunies sur une barre d'outil labellisés au sommet de la page et il est possible d'imprimer les cartes heuristiques, dans le cas où l'on ne pourrait pas les afficher sur un écran ou un projecteur en classe. Un tutoriel très clair est disponible sur la plateforme YouTube pour toute personne qui souhaiterait prendre en main cet outil :



Employer une application de ce genre pour réaliser une séquence comme celle-ci s'inscrit notamment dans le modèle SAMR de Ruben Puentedura (2013), un modèle développé notamment dans la perspective du numérique éducatif, qui consiste à donner une grille de quatre étapes permettant à n'importe quel enseignant d'introduire le numérique dans une pratique pédagogique, ainsi qu'à se questionner sur l’utilisation de ces outils en classe et sur la plus-value qu'ils peuvent apporter dans les situations d'enseignement (Levy, 2017). Les quatre étapes de ce modèle sont respectivement la substitution, l'augmentation, la modification et la redéfinition (Puentedura, 2013).

Si l'on emprunte alors à cette grille les termes pour décrire là où se place dans le modèle SAMR notre séquence, il s'agirait ici d'une augmentation d'une tâche normalement réalisée sur papier, en ce que l'outil Framindmap permet une amélioration fonctionnelle à l'exercice de la carte heuristique sur papier. En effet, sur l'application il est possible de travailler sur une carte à plusieurs simultanément sans gêner ses camarades, tout en ayant le confort de son propre poste de travail, de la partager rapidement, y compris à des gens hors de la classe sans devoir s'en défaire, la sauvegarder sur un cloud pour pouvoir y avoir accès en tout temps et en tout lieu, ainsi que d'être insérées à l'avenir dans d'autres documents.  En outre, la fonctionnalité de retour en arrière permet d'annuler des modifications de la carte qui ne seraient pas convenables sans devoir recommencer à zéro ou sans se retrouver avec un espace de travail rempli de ratures et cela s'applique également lorsqu'un élève voudra modifier sa carte en déplaçant des nœuds pour améliorer la lisibilité. 

De plus, cette application présente plusieurs intérêts pédagogiques : 

  1. Premièrement, cela permet de varier les modalités de travail au sein de la classe ; du papier-crayon à l'utilisation de l'ordinateur, les élèves emploient ainsi des moyens divers de stabiliser leurs savoirs, ce qui peut parfois mieux convenir à certains. 
  2. Deuxièmement, cela permet de leur présenter un arsenal d'outils déjà organisés ; il peuvent ainsi s'employer à leur objectif plus directement, sans être limités par leur capacités à écrire et dessiner proprement et in extenso cela permet d'adapter directement les cartes à certains besoins spécifiques des élèves dys. 
  3. Troisièmement, cela permet aux élèves d'éviter de perdre leurs affaires, ici leur carte, si leur travail n'est pas terminé, étant donné qu'ils n'ont qu'à la sauvegarder sur leur session personnelle ou sur le cloud à leur disposition sur Microsoft Teams. 
  4. Enfin, quatrièmement, l'utilisation du numérique peut également amener une légère dimension ludique ou tout du moins stimulante, à des élèves d'une génération quotidiennement marquée par ces nouveaux outils. 

Compétences enseignantes

Afin de réaliser cette séquence facilement et de prendre en main les outils proposés par Framindmap, il pourrait être recommandé de valider la compétence : "Création et utilisation du MindMapping" présente sur Squily à cette adresse : https://www.sqily.com/msmitic-2019/skills/2410. Cela permettra une meilleure compréhension à la fois du principe de la carte heuristique, ainsi qu'une familiarisation avec les différents outils numériques à disposition pour produire ce genre de contenu. 

En outre, il s'agit bien sûr de préparer en amont cette séquence, notamment en étant au fait du contenu des ouvrages qui serviront de base à la séquence. Il est clair que sans ces connaissances, il sera difficile de présenter un contenu solide aux élèves et de pouvoir répondre à leurs questions. 

Alignement pédagogique et séquence didactique

Contexte de la séquence et alignement curriculaire

C’est auprès d’une classe de huit élèves de 11VG niveau 1 de Français que se déroulera la séquence suivante. Dans l’optique des examens de fin d’année, nous sommes amenés à travailler sur différents ouvrages pour préparer les analyses de texte qui seront présentées lors d’un oral de 15 minutes. Dans cette perspective, il s’agit pour les élèves de travailler sur chacun des ouvrages et d’en tirer les informations notables pour la bonne compréhension des histoires qui leur sont racontées. Personnages principaux, évènements capitaux du récit, thématiques et champs lexicaux sont, entre autres, des informations à retenir pour pouvoir établir une explication de texte solide. L'ouvrage principal qui sera travaillé lors de cette séquence sera "Le Horla" de Guy de Maupassant. 

Ainsi, il s’agit de travailler ces éléments en classe en amont, à la fois pour permettre aux élèves d’avoir un suivi de leur enseignant pendant l’année et à la fois pour les décharger d’un travail qu’il leur serait trop fastidieux de réaliser individuellement. 

La présente séquence s'inscrit dans les objectifs du Plan d’Études Romand (CIIP, 2010) suivants :  "L1 31 — Lire et analyser des textes de genres différents et en dégager les multiples sens en hiérarchisant et en synthétisant les contenus " notamment en ce qui concerne le point :  "dégager les éléments essentiels (lieu, époque, personnages, structure narrative)".

Elle sera également le moyen de travailler sur certaines Capacités Transversales, elles aussi tirées du PER, telles que "l'acquisition de méthodes de travail", "l'exploitation des ressources", "le développement d'une méthode heuristique" ou encore "le développement de la pensée divergente".

On pourra encore noter l'inscription de cette séquence dans les objectifs MITIC du Plan d’Études Romand, notamment dans l'objectif "FG 31 — Exercer des lectures multiples dans la consommation et la production de médias et d'informations",  "Utilisation d'un environnement multimédia - choix et utilisation autonomes (jusqu'à la gestion et l'organisation des documents) de diverses ressources numériques adaptées à la tâche projetée (texte, présentation, feuille de calcul, dessin, musique,…)".

Insertion de la séquence dans le programme annuel

Pour travailler ces différents objectifs et répondre à ces attentes pédagogiques, j'ai décidé d’établir une séquence qui sera répétée après la lecture d'un ouvrage en classe, ici "Le Horla" de Maupassant, dont le but serait de résumer et établir les éléments principaux de ces derniers. Étant donné que cette séquence se déroulait auprès d'un groupe de 11VGNiv1, elle s'inscrivait dans la perspective de l'examen final d'analyse de texte et notamment en ce qui concerne l'oral de Français, qui nécessite une bonne connaissance du contenu des livres travaillés en classe. 

Description de la séquence

L'idée de cette séquence est donc de se prêter à l’exercice de la Mind-Map, qui consiste en une organisation visuelle et arborescente des éléments importants d’un sujet en particulier. Cet exercice a plusieurs vertus : d’une part permettre une représentation visuelle des informations et d’autre part l’organisation logique des éléments entre eux, permettant ainsi une compréhension du lien qui les unit. Établir une Mind-Map semble donc parfaitement indiqué ici, d'autant plus qu'il s'agit d'un groupe de 11èmes, qui possède déjà certaines compétences sur l'exercice du résumé et de l'analyse de texte. 

Chaque élève était donc muni d'un poste de travail individuel, un ordinateur fourni par l'école, et pouvait ainsi parcourir l'application directement en classe, sous mon regard attentif. Ils devaient, au terme de la séquence, être capables de réaliser individuellement une carte heuristique complète, résumant les éléments principaux d'un des ouvrages lus en classe. 

La séquence complète a été établie sur cinq périodes et se déroulait de la manière suivante : 

  • La première période, en séance plénière, était dédiée à la présentation de l'application Framindmap et consistait à faire découvrir aux élèves ses fonctionnalités principales, tout en établissant avec eux les objectifs de la séquences, à savoir d'établir un résumé de l’œuvre qu'ils viennent de lire sous forme de carte heuristique. Chaque élève était doté d'un ordinateur et ils pouvaient accéder à leur compte personnel (tous les élèves de Grand-Vennes en possèdent un d'office) pour sauvegarder leur Mind-Map sur leur propre session. J'ai présenté, à l'aide d'un projecteur, l'application en question et une fois que les élèves avaient compris les bases du fonctionnement du logiciel, je leur ai demandé de se munir du livre en question, le Horla, pour y réunir les informations. Cette première période pourrait ne pas être nécessaire si l'on répète la séquence plusieurs fois pendant l'année, mais elle a servi principalement ici d'introduction à l'outil numérique utilisé. 
  • La deuxième période consistait à réunir les informations importantes de l'ouvrage travaillé. En séance plénière, les élève ont détaillé les personnages principaux ainsi que leurs caractéristiques et leurs liens, les évènements importants du scénario et les thématiques principales abordées par le livre. J'ai noté chaque élément sur ma propre Mind-Map, sans pour autant les classer ou les organiser. 
  • Les périodes 3 et 4, ont eu lieu une fois tous ces éléments détaillés. Pendant ces périodes, les élèves reprenaient chacun desdits éléments et commençaient à les organiser individuellement dans Framindmap. Bien que j'aie été à leur disposition pour les aider en cas de besoin, il était important que je laisse les élèves passablement libres d'organiser les éléments comme bon leur semblait, étant donné que les Mind-Maps se doivent de refléter les schémas de pensée de chacun. Je me tenais donc simplement à disposition des élèves pour répondre à des questions et m'assurer que le travail était fait. 
  • Période bonus (je ne l'ai pas faite avec mes élèves, mais elle pourrait être intéressante) : La cinquième période est optionnelle, mais peut s'avérer importante. Une fois les schémas heuristiques terminés, l'enseignant peut les collecter et chaque élève peut venir les présenter brièvement devant la classe, à l'aide du beamer. On compare alors les schémas de chacun, en discutant de choix organisationnels. On peut alors proposer aux élèves qui ne sont pas convaincus de leur Mind-Map d'en faire une en commun, qui leur sera alors distribuée. Sinon, on laisse les élèves imprimer leur carte personnelle et l'utiliser comme base de travail pour les explications de texte. 
  • La sixième (ou cinquième) période était alors réservée à l'évaluation formative. Elle a consisté en la réalisation individuelle d'une carte heuristique sur l'un des autres ouvrages lus en classe, au moyen de l'outil Framindmap. J'ai évaluer, sans mettre de note, l'organisation de la carte heuristique, la pertinence des éléments relevés et inscrits en son sein, la clarté générale du document et la qualité des liens établis entre les divers éléments contenus dans le document. Il est possible d'établir ces retours et ces commentaires directement sur les cartes des élèves au moyen de l'onglet "notes" proposé par l'application, mais j'ai donné ces retours oralement à chaque élève de la classe et nous en avons profité pour faire un petit retour général sur la séquence et l'utilisation de l'application. 

Déroulement de la séquence, retour et limites

Somme toute, la séquence s'est relativement bien déroulée. Les élèves étaient particulièrement excités à l'idée de changer de cadre de travail et d'aller en salle d'informatique. Il m'est apparu clairement l'aspect ludique qu'une telle séquence apporte dans la perspective d'une leçon de Français.
Les élèves semblaient passablement à l'aise avec les ressources numériques du collège, ils avaient l'habitude de les utiliser dans le cadre d'autres cours comme l'Allemand et la Formation Générale. Chacun avait un accès personnel et seul un petit groupe d'élève s'est trouvé quelque peu désarçonné par ce nouvel outil.
A ce titre, la prise en main de l'outil en question a été plutôt facile. Les élèves trouvaient rapidement les informations et plusieurs d'entre eux m'ont avouer préférer ce genre de modalité de travail.
L'utilisation des ordinateurs a eu également pour effet de canaliser certains élèves présentant parfois des comportements difficiles à gérer et l'ambiance générale a été somme toute positive, ponctuée ça et là de plaisanteries et de brèves discussions qui n'ont pas eu d'effet néfaste sur la réalisation des tâches par l'ensemble de la classe.
L'évaluation finale a été en outre satisfaisante. J'ai pu voir que les élèves avaient pris en main l'outil en question et que les difficultés apparaissaient plutôt du côté de la langue et du contenu des ouvrages à résumer. Toutefois, cela formera une bonne base de travail pour les résumés de fin d'année et les révisions avant les examens de Français.
Globalement l'expérience était plutôt réussie et je pense que c'est un outil que je continuerai d'utiliser avec mes classes à l'avenir. De plus, je ne pense pas me limiter forcément à la 11ème année et je trouverai intéressant de mettre en place cette manière de travailler dès la 9ème année afin de les habituer rapidement à cet outil, pour pouvoir l'utiliser facile lors de leur passage en 11ème.

Exemple d'une MindMap produite par un élève


Les limites que j'ai pu trouver à cette séquence sont les suivantes : 

D'un côté, certains élèves ne se sont pas sentis à l'aise avec ce genre d'applications ou n'en ont pas tout de suite saisi le fonctionnement. Cela a eu pour effet de ralentir le rythme de travail, comparativement aux exercices faits sur papier, bien plus habituels pour eux. 
De l'autre, certains élèves ont profité de l'occasion d'être sur un ordinateur, pour y faire tout autre chose que de travailler, rendant alors certaines périodes moins productives que si le travail avait été fait sur papier. Il s'agit pour moi à l'avenir de mieux cadrer le travail et les objectifs des élèves et veiller à ce que ceux-ci s'acquittent de leur travail correctement, en surveillant plus activement leur utilisation des ressources numériques. 
Enfin, la dernière limite s'est trouvée dans le fait d'assurer de la disponibilité du matériel et de l'accès au réseau, sans quoi cette séquence ne pouvait être réalisée. En effet, le collège de Grand-Vennes n'est pas extrêmement bien fourni en termes de matériel numérique et il a parfois fallut batailler pour obtenir un accès en salle d'informatique ou réserver l'unique chariot de l'école contenant les ordinateurs portables. 

Bibliographie 

Boéchat-Heer, S., & Wentzel, B. (2012). Comment l'école s' adapte à la génération connectée. In Génération connectée: quels enjeux pour l'école? (pp. 11-20). HEP-BEJUNE.
CIIP (2010). Plan d’études romand. www.plandetudes.ch. Consulté le 21 mai 2021.
Denouël, J. (2017). L’école, le numérique et l’autonomie des élèves. Hermès, La Revue, (2), 80-86.
Fourgous, J. M. (2011). Réussir à l’école avec le numérique: le Guide pratique. Odile Jacob.
Levy, A. (2017). SAMR, un modèle à suivre pour développer le numérique éducatif. Technologie: Techno sans frontière, 206.
Puentedura, R. R. (2013). SAMR: Getting to transformation. Retrieved May, 31

Webographie

CIIP (2010). Plan d’études romand, objectif L1-31 : https://www.plandetudes.ch/web/guest/L1_31/
CIIP (2010). Plan d’études romand, capacités transversales  : https://www.plandetudes.ch/capacites-transversales1
CIIP (2010). Plan d’études romand, objectif FG-31 : https://www.plandetudes.ch/web/guest/FG_31/
Framindmap : https://framindmap.org/c/login
Présentation du modèles SAMR - Université de Genève : http://edutechwiki.unige.ch/fr/SAMR
Référence Sqily - Création et utilisation du MindMapping : https://www.sqily.com/msmitic-2019/skills/2410