Contexte
Introduction
Ma séquence pour le module MSNUM a été mise en œuvre dans une classe de 9VG dans l’établissement scolaire du Pontet à Ecublens. Cette séquence intervient dans le cadre de ma deuxième année de stage « A » et première année pour la didactique de l’histoire. Cette séquence a eu lieu durant l’étude du chapitre 3 des nouveaux MER d’histoire sur la fondation de Rome. Le quizz Kahoot a été utilisé quelques semaines avant TA. Cela m’a permis d’évaluer les connaissances des élèves afin d’organiser des exercices de remédiation pour préparer le TA.

La classe en question est composée de 15 élèves, 6 filles et 9 garçons. Malgré le faible nombre d’élève, il s’avère que l’enseignement peut s’avérer problématique dû à l’hétérogénéité de la classe. En effet, c’est une classe avec des élèves de niveaux très différents. Cela impacte la participation des élèves et le dynamisme général. Lors d’activités, les plus rapides se mettent à la tâche avant même la fin des consignes, alors que les élèves avec plus de difficulté ont besoin de consignes explicitées très précisément et découpées en beaucoup de petites étapes pour se mettre à la tâche et avancer. Les deux périodes d’histoire interviennent à la suite, mais entrecoupées par la récréation le mercredi (09h10-11h00). Puisque la fin de la récréation sonne à 10h15 et que la période commence à la même heure, un délai de 3 minutes est accordé aux élèves. Cela dit, certains élèves sont systématiquement en retard. La leçon commence donc autour de 10h20. La période est courte car elle se termine également plus tôt (10h55) pour que les élèves puissent se rendre au cours d’éducation physique. Cela dit, les activités, tel qu’un quizz Kahoot, qui apportent de la variété dans leur routine scolaire, fonctionne mieux qu’un simple questionnaire papier et permet de mettre les élèves à la tâche plus rapidement.
Le quizz Kahoot étant organisé sous forme de compétition avec un classement. Cela incite les élèves de cette classe à se mettre à la tâche et à dynamiser le cours.
Dans un effort d’impliquer les élèves de cette classe lors des cours d’histoire mais également de leur donner de feedbacks sur le niveau de leurs connaissances avant un TA, je vais présenter, dans cette séquence, la mise en place d’une mini-évaluation formative avec la ressource numérique Kahoot.

Utilité du numérique
Dans cette classe particulièrement hétérogène et peu active, j’ai constaté qu’intégrer l’utilisation d’outils numérique permet de dynamiser les élèves. Dans cette optique, j’ai utilisé à l’application Kahoot qui permet de créer des quizz en ligne que l’on peut partager avec les élèves directement en classe ou à distance lorsqu’ils sont à la maison. J’utilise donc régulièrement cet outil pour faire un bilan de fin de leçon. En effet, si au départ il est nécessaire de prendre le temps de présenter la marche à suivre de connexion et d’identification des élèves, l’application est facile à utiliser et très accessible pour les élèves. Cela permet de l’utiliser régulièrement et de proposer des petits quizz de 2 à 4 questions en fin de leçon aux élèves.

Un autre avantage de cette application est le fait que les élèves peuvent retourner sur les quizz depuis chez eux afin de réviser pour un test. Cette possibilité de reprendre les quizz un nombre de fois encourage et facilite l’implication et l’apprentissage dans cette classe.

Pour accéder aux quizz, il est nécessaire d’avoir un accès internet avec un ordinateur pour accéder au site Kahoot ou sur smartphone pour accéder aux quizz avec l’application téléphone. La majorité des élèves utilisent l’application sur leur smartphone. Selon moi, cette option permet de faciliter l’accès car les élèves sont beaucoup plus à l’aide avec leur téléphone qu’avec un ordinateur. Un autre avantage est le fait que les élèves n’ont pas besoin de se créer un compte pour utiliser les quizz. Il leur suffit juste d’entrer un code d’accès.

Lors de la première utilisation, l’installation de l’application sur leur smartphone a nécessité un peu de temps. Au préalable, je m’étais assuré que tous les élèves disposaient d’un smartphone et d’une connexion internet. Un élève n’avait pas de smartphone. Je réservais donc une tablette lors de la passation de quizz en classe. En ce qui concerne la connexion internet, le partage de connexion a toujours bien fonctionné.

En s’appuyant sur le modèle théorique SAMR de Ruben Puentedura, le recours à Kahootapporte une progression au niveau un et deux des échelons du modèle (Cf. schéma ci-dessous). Tout d’abord, le premier niveau « substitution » car un quizz Kahoot correspond à un quizz sur papier mais il est possible d’aller jusqu’au niveau deux « l’augmentation » car l’activité en numérique apporte un plus, notamment par la possibilité de refaire le quizz à la maison et par le recours aux supports informatiques (ordinateurs ou smartphone). Cependant, il est difficile d’argumenter que les deux derniers niveaux sont atteints car dans cette activité, le numérique ne transforme pas la séquence et ne redéfini pas l’approche.

Lors de cette séquence, j’ai remarqué que cette forme d’évaluation formative permettait de mobiliser les élèves d’une classe hétérogène et démobilisée. En effet, le simple fait de pouvoir sortir leur smartphone permettait de les mobiliser en fin de leçon, période durant laquelle ils ont souvent l’habitude d’anticiper la fin du cours. L’utilisation de Kahoots durant cette séquence a développé un esprit de compétition bonne enfant entre les élèves qui boostait leur participation et leur implication. En tant qu’enseignant d’EPS, je peux faire un parallèle ici avec mon autre discipline. Les élèves les moins assidus en histoire mais compétitif en EPS se sont pris au jeu et ont essayé de concurrencer leurs camarades habituellement plus participatifs durant le cours d’histoire. J’ai pu observer des renversements de situation intéressants et qui n’ont jamais débordé malgré une classe gangrenée par des problèmes de harcèlements et de violences. Je suis donc très agréablement surpris par l’effet du numérique sur l’implication des élèves.

Compétences enseignantes
Afin de pouvoir mener cette séquence, deux compétences sont nécessaires. La première, est : « Utiliser les ressources numériques de son environnement de travail » (https://www.sqily.com/msmitic-2019/skills/2425).

La seconde est celle de « Gamifier/Ludiciser sa classe avec le numérique » (https://www.sqily.com/msmitic-2019/skills/2552). Cette compétence permet de se familiariser avec des éléments théoriques en lien avec la ludification. Notamment au niveau de l’implication des élèves et de la diversification des activités. Cette compétence s’articule autour de l’intégration de jeux dans l’enseignement. Habituellement, ces jeux sont organisés pour une utilisation sur plusieurs périodes. C’est ce qui m’a donné l’idée d’utiliser Kahoot tout au long d’une séquence comme un outil d’évaluations formatives régulières.

Il est également préférable de se familiariser et d’étudier cette application avant la mise en œuvre de l’activité en classe. Personnellement, je n’avais jamais utilisé Kahoot en classe. Je me suis donc entrainé mais en créant des quizz et en les testant avec mes proches.

Alignement pédagogique
Objectifs
L’utilisation de l’application Kahootpermet de travailler des savoirs et des compétences pédagogiques en adéquation avec le PER.

Tout d’abord, si l’on étudie le PER pour la discipline de l’histoire, ce dernier préconise que les élèves acquièrent des compétences spécifiques qui pourront être travaillées durant un Kahoot. Dans cette optique, ma séquence sur la fondation de Rome, est en lien avec l’objectif au SHS32 :  « Analyser l’organisation collective des sociétés humaines d’ici et d’ailleurs à travers le temps ». Les composantes spécifiques sont les suivantes : 

Composante 3 : … en distinguant les faits historiques de leurs représentations dans les œuvres et les médias

Composante 4 : … en examinant les manifestations de la mémoire et leurs interactions avec l’histoire.

Si l’on s’intéresse aux capacités transversales (CT), avec cette séquence, cela va permettre aux élèves d’améliorer leur connaissance d’eux-mêmes afin d’optimiser et réguler leurs apprentissages. Plus spécifiquement, un Kahoot permet de mettre l’accent sur la CT « stratégies d’apprentissages ». Un Kahoot permet de développer les descripteurs tels que : « la gestion d’un tâche » et « Acquisition de méthodes de travail ». En effet, suite au quizz, les élèves vont avoir la possibilité de percevoir et d’analyser les difficultés qu’ils ont rencontrées. Cela va leur permettre d’apprendre de leurs erreurs. Les quizz ont un but d’évaluation formative. Les élèves peuvent donc distinguer ce qui est connu de ce qui reste à découvrir, dégager les éléments de réussite et développer leur autonomie.

Tous ces avantages sont inhérents à l’aspect numérique du Kahoot. En effet, une fois le Kahoot fait en classe, les élèves peuvent le repasser à la maison pour s’exercer.

Ce n’était pas le cas dans ma séquence, puisque j’avais pour objectif de faire des évaluations formatives, mais si l’on souhaite développer des compétences de collaboration et de communication, il serait tout à fait possible de former des groupes lors d’un Kahoot.

Finalement, il est évident que l’utilisation de l’application Kahoot va permettre aux élèves de travailler les compétences liées aux MITIC en lien avec l’objectif de formation générale du PER, FG31. Si les élèves passent beaucoup de temps sur leurs téléphones, ils sont souvent consommateurs de contenu. L’utilisation de l’application va donc permettre de confronter les élèves à l’utilisation d’outils numériques qu’ils n’utilisent pas régulièrement et développer leurs capacités dans ce domaine.

Style pédagogique
Rôle de l'enseignant

Le rôle de l’enseignant est de produire le matériel didactique. C’est-à-dire créer les questionnaires qui seront proposés aux élèves. Pour ce faire, il faut commencer par identifier les objectifs de leçons et formuler des questions pertinentes pour que celles-ci soient efficaces dans l’évaluation des apprentissages des élèves. Sans cette analyse, les résultats de ces évaluations formatives ne permettront pas de récolter des informations afin d’adapter l’enseignement de la suite de la séquence en fonction des besoins et lacunes des élèves.

En classe, avant la passation du Kahoot, mon rôle est de présenter clairement le déroulement de l’activité aux élèves, puis de veiller au bon déroulement de celle-ci. Il faut également être prêt à palier des problèmes techniques (connectivité, batteries des téléphones, etc.).

Suite aux premières tentatives, j’ai réalisé qu’il était nécessaire de présenter les questions aux élèves avant de commencer le quizz car comme je l’ai déjà mentionné, certains élèves de la classe ont des difficultés de lecture et de compréhension.

Lors de la présentation des résultats, il est également important de calmer les ardeurs des élèves galvanisés par l’aspect compétitif d’un Kahoot. Il est également important de bien expliquer la correction des réponses afin que cela fasse sens pour les élèves.

Ma posture d’enseignant s’est modifiée durant la séquence. Lors du premier quizz, j’étais trop passif en pensant que le programme allait faire certaines choses à ma place. Par exemple, la lecture des questions. Par la suite, j’ai donc opté pour une posture très directive pour présenter et expliquer aux élèves la mise en œuvre et les questions du quizz. Lors de l’affichage des réponses et du classement, les élèves étaient également obligés de prendre note des éléments qu’ils avaient fait juste ou faux. Finalement, sous forme de cours dialogué, les élèves devaient chercher des liens entre les questions et les objectifs du thème (la fondation de Rome). Le but était que les élèves puissent constater quels objectifs leurs posaient plus ou moins de problème afin de cibler leur travail à la maison et combler leurs lacunes.

Rôle des élèves
Dans ces quizz les élèves ont dû suivre les consignes que je leur étaient présentées. En ce qui concerne la gestion de classe, ils devaient utiliser leur téléphone uniquement à des fins pédagogiques. J’avais clairement explicité que si je les voyais sur une autre application, cela serait synonyme de punition et qu’ils feraient le prochain quizz sur papier.

En ce qui concerne les étapes pour le quizz, ils devaient se connecter au bon questionnaire en entrant le bon code. Lors de l’institutionnalisation, ils devaient mettre en évidence deux objectifs du thème qui leur posaient problème et les travailler à la maison pour la semaine suivante (cf. PDF du Powerpoint utilisé en classe).

Le but premier de recourir à des mini-quizz était de proposer un suivi de la progression des apprentissages des élèves, pour adapter ma séquence d’enseignement si quelque chose n’était pas compris mais aussi les préparer au mieux en vue de l’évaluation de fin de séquence. De plus, l’utilisation d’un support numérique permet de garder les élèves engager en fin de leçon. Varier l’activité et les supports de travail (smartphone) ont permis de stimuler l’investissement des élèves et de les rendre plus proactifs dans leur préparation aux TA et TS. Ces petits quizz auraient très bien pu être distribués en version papier, puis ramassés, corrigés et rendus la semaine suivante mais cela n’aurait pas été aussi efficace. En effet, les feedbacks directs de la correction sur le moment, permet aux élèves d’y faire beaucoup plus attention que lorsqu’on leur rend un bout de papier une semaine après l’avoir complété. L’aspect de compétition avec un classement d’élèves les plus rapides et avec le plus de bonnes réponses est également très efficace dans cette classe, malgré le manque de cohésion entre les élèves. L’utilité supplémentaire non négligeable du numérique est de permettre aux élèves de refaire les quizz à plusieurs reprises en dehors des heures de cours.

Pour évaluer les élèves, j’utilise les données récoltées par le programme durant le quizz. En effet, celles-ci permettent de voir quelles questions ont posé le plus de difficultés. Là était tout l’intérêt de ma séquence. Le recours à Kahootétait une démarche de mini-évaluations formative en fin de leçon, sur le sujet travaillé. Kahoot permet à l’animateur de télécharger un rapport en format xlsx. Pour ce travail je l’ai transformé en PDF. (cf. document ci-dessous)

Il était donc nécessaire de mettre l’accent entre les questions des quizz et les objectifs du chapitre afin que les élèves identifient leurs lacunes pour pouvoir les travailler. Si cet aspect n’est pas mis en place, les élèves vont appréhender l’activité comme un jeu de fin de leçon pour combler le temps.

Les élèves de la classe n’ont pas les mêmes compétences avec les outils numériques. Bien que toute la classe dispose d’un smartphone, j’ai été étonné de voir que certains ne sont pas forcément à l’aise du moment qu’ils sortent des quelques applications qu’ils ont l’habitude d’utiliser.

Cela dit, lors de la mise en œuvre de cette séquence, je pensais qu’il serait nécessaire d’utiliser une marche à suivre pour installer et se connecter à Kahoot. Cela n’a pas été le cas. Il m’a suffi de projeter le logo de l’application au TBI, puis d’inscrire le code du questionnaire correspondant. Aucun élève n’a eu de problèmes pour se connecter.

Comme mentionné précédemment, ce qui a posé plus de problème lors du premier quizz était la compréhension des questions du questionnaire. Pour les suivants, j’ai choisi de lire en collectif et d’expliciter les questions aux élèves avant de lancer le quizz.

Le fait que cette classe est gangrenée par une problématique d’harcèlement et de violence, je ne savais pas à quoi m’attendre avec le classement qui est affiché par l’application. J’ai été agréablement surpris, de voir que cela a permis de mobiliser les élèves qui ont souvent de la peine à se mettre à la tâche et qu’aucun débordement ou mauvaise parole n’a eu lieu lors des classements. Cela dit, j’ai dû parfois fois rappeler à l’ordre des élèves, occupés à comparer leurs réponses et à commenter l’évolution du classement. Il est arrivé que pour calmer la classe, j’ai dû attendre 30 secondes entre deux questions afin de pouvoir continuer dans le calme. Par conséquence, il m’est arrivé de ne pas avoir le temps de terminer le quizz avant la sonnerie.

Planification

Ces mini-évaluations formatives s’insèrent dans la séquence de la Rome Antique, plus précisément en lien avec le chapitre 2 des MER sur la fondation de Rome. Ces évaluations formatives se sont faites les 5-10 dernières minutes de plusieurs périodes durant l’étude de ce thème. J’enseigne deux périodes dans cette classe le mercredi matin. Il s’agit d’une double période entrecoupée par la récréation

Comme mentionné plus haut, cette classe présente une forte hétérogénéité et les élèves sont démobilisés. Cela dit, durant ces quizz, ils étaient enthousiastes et participaient plus qu’à leur habitude. Lors de la mise en œuvre du premier quizz je n’avais pas anticipé les difficultés de compréhension des questions du quizz. Mais cela a pu être rectifié lors des quizz suivants. Les élèves avaient pour consigne de créer leur pseudo en utilisant leur prénom (facilité d’analyse des résultats). Le pseudo d’un élève est apparu deux fois. Je n’en connais pas la raison. Peut-être un bug ou une double connexion ? 

Lors de la majorité des leçons, les élèves étaient impatients de passer au quizz et oubliaient parfois que ce dernier allait porter sur les savoirs du cours. À plusieurs reprises, je me suis appuyé sur l’enthousiasme des élèves pour ces quizz afin de les remobiliser durant les moments d’institutionnalisations des leçons. Ma réplique favorite étant : « Soyez attentitfs ça pourrait ressortir dans les questions du quizz ! » 

Habituellement, la majorité des réponses étaient correctes (peut-être même trop facile) et les élèves ont toujours bien réussi à identifier les objectifs du thème en liens avec les questions. L’achat d’un abonnement Kahoot payant permettrait de formuler des questions plus complexes et pourquoi pas même l’utiliser pour un TA ?

Malgré une bonne participation des élèves, il y a quand même des exceptions, comme vous pourrez le voir dans les tableaux Excel (Belkisa et Juliana). Les élèves se seraient précipter pour appuyer sur un bouton sans réfléchir. Malheureusement, je ne l’ai pas remarqué durant l’activité. C’est lors de l’analyse des statistiques Kahoot que je m’en suis aperçu (tableau ci-dessous). Lors du cours suivant, j’ai pris le temps d’en parler individuellement avec les élèves en question pour résoudre l’anicroche.

Conclusion
Comme je l’ai déjà écrit, je ne m’attendais pas à un tel enthousiasme de la classe. Cela m’a permis de terminer les leçons dans de meilleurs conditions de travails. Oui les élèves étaient plus agités mais au moins ils participaient ! Habituellement ils demandent l’heure, rangent leurs affaires avant que je le leur demande et me rappellent que je dois les lâcher plus tôt car ils ont la gym la période suivante.

J’ai donc souvent utilisé cette carotte durant la séquence pour remobiliser les élèves ou attirer leur attention sur des éléments importants et des moments d’institutionnalisations. À tel point que lors de la lecture des objectifs pour préparer le TA, un élève s’est exprimé en disant : « Pour le TA, il faut juste refaire les Kahoot ». J’ai dû calmer ses ardeurs et bien expliciter à la classe que les Kahoot étaient un outil de révision mais j’ai attiré leur attention qu’ils ne traitaient pas tous les objectifs et qu’il était nécessaire de réviser tous les objectifs pour se préparer aux tests.

Certains élèves ont utilisé le Kahoot pour préparer le TA mais d’autres pas. Dans le futur, je souhaite pousser l’expérience un peu plus loin et pourquoi pas faire un TA sous forme de Kahoot. Pour cela, j’utiliserai de préférence les ordinateurs portables du collège afin d’éviter des problèmes techniques et la tricherie (communication avec un groupe Whatsapp durant le test par exemple.)

Lien vers un quizz Kahoot de fin de leçon : 

A. Levy, Ph. Taillard, « Évaluation instantanée des apprentissages », Technologie, n° 202, mars-avril 2016, p. 48-49.

https://canope85.canoprof.fr/eleve/Formations/Usages%20pédagogiques%20du%20VPI/activities/sankore.xhtml