Comparer les applications de la VMC
Vous avez les principes pédagogiques qui motivent la validation mutuelle des compétences.
Vous êtes enseignants. Vous avez l'habitude de "bricoler" entre la théorie et la pratique, de jouer avec le risque de l'instantanéité entre la valeur et le réel. Mais aussi de traverser les multiples réformes imposées en distinguant ce qui est intéressant et faisable du reste.
La validation mutuelle des compétences est pensée pour s'adapter à différentes pratiques. En fonction de vos objectifs, du terrain et de bien des facteurs de la forme scolaire, chacun peut insérer ces principes de manières très différentes. En gardant le coeur, une classe d'élèves-acteurs de leurs apprentissages.
Voici quelques exemples (liste bien sûr non exhaustive):
Dans une pédagogie traditionnelle, l'enseignant peut garder la main sur les brevets qu'il met à disposition. Les experts sont toujours identifiés et peuvent alors aider leurs camarades. Ça les aide à répéter la notion et les ressources en ligne sont autant de moyens de réviser. Des moments spécifiques de travail pourront être définis pour l'acquisition des brevets ; même à l'extérieur du temps scolaire.
Dans une pédagogie explicite, l'enseignant peut découper l'apprentissage par étapes. Il peut donner ses explications en frontal ou à l'aide de vidéos, utiliser la liste de tâche pour garantir la construction vers plus d'autonomie. Il déterminera les moments où les élèves pourront alors s'emparer de la validation et créer à leur tour des brevets.
Dans une pédagogie de projet, les parcours peuvent être dirigés vers des créations et un objectif commun. L'enseignant peut aussi donner la liberté de créer de nouvelles compétences.
Dans une pédagogie socioconstructiviste, les élèves peuvent être amenés à gérer leurs parcours avec une grande autonomie. On pourra leur demande de créer des ressources.
Le niveau d'hybridation peut être aussi différent. Soit on fait tout en classe, soit une partie est faite à la maison, comme regarder les vidéos pour réviser ou préparer le cours dans un principe de classe inversée.
L'enseignant décide selon ses convictions, mais aussi d'après les moyens. Un usage one-to-one (un appareil par élève) peut être un avantage, mais un ordinateur pour la classe peut suffire.
Ces questions vont façonner le type de VMC qui sera appliqué. Mais gardez à l'esprit que
Vous êtes enseignants. Vous avez l'habitude de "bricoler" entre la théorie et la pratique, de jouer avec le risque de l'instantanéité entre la valeur et le réel. Mais aussi de traverser les multiples réformes imposées en distinguant ce qui est intéressant et faisable du reste.
La validation mutuelle des compétences est pensée pour s'adapter à différentes pratiques. En fonction de vos objectifs, du terrain et de bien des facteurs de la forme scolaire, chacun peut insérer ces principes de manières très différentes. En gardant le coeur, une classe d'élèves-acteurs de leurs apprentissages.
Voici quelques exemples (liste bien sûr non exhaustive):
Dans une pédagogie traditionnelle, l'enseignant peut garder la main sur les brevets qu'il met à disposition. Les experts sont toujours identifiés et peuvent alors aider leurs camarades. Ça les aide à répéter la notion et les ressources en ligne sont autant de moyens de réviser. Des moments spécifiques de travail pourront être définis pour l'acquisition des brevets ; même à l'extérieur du temps scolaire.
Dans une pédagogie explicite, l'enseignant peut découper l'apprentissage par étapes. Il peut donner ses explications en frontal ou à l'aide de vidéos, utiliser la liste de tâche pour garantir la construction vers plus d'autonomie. Il déterminera les moments où les élèves pourront alors s'emparer de la validation et créer à leur tour des brevets.
Dans une pédagogie de projet, les parcours peuvent être dirigés vers des créations et un objectif commun. L'enseignant peut aussi donner la liberté de créer de nouvelles compétences.
Dans une pédagogie socioconstructiviste, les élèves peuvent être amenés à gérer leurs parcours avec une grande autonomie. On pourra leur demande de créer des ressources.
Le niveau d'hybridation peut être aussi différent. Soit on fait tout en classe, soit une partie est faite à la maison, comme regarder les vidéos pour réviser ou préparer le cours dans un principe de classe inversée.
L'enseignant décide selon ses convictions, mais aussi d'après les moyens. Un usage one-to-one (un appareil par élève) peut être un avantage, mais un ordinateur pour la classe peut suffire.
Ces questions vont façonner le type de VMC qui sera appliqué. Mais gardez à l'esprit que
la VMC doit évoluer en suivant les besoins de la communauté
- Brevets par le maître ou par les élèves (Rôle du maître)
- Parcours libre ou non (autonomie des élèves)
- Articulation avec le cours (appuis, répétition ou rôle central de la VMC)
- Niveau d'utilisation du numérique (1 ordi, 1to1)
- Evaluation (sommative intégrée ou non)
- Par projet (création, objectif)
3 tâches
- J'ai une meilleure idée des possibilités d'adapter ou détourner la VMC
- J'ai évalué les différentes possibilités par rapport à ma pratique
- Je resterai à l'écoute de la communauté pour répondre à ses besoins