Préparer le terrain
Organiser la technique
Tout dépend de l'utilisation que vous voulez faire et de la technique à disposition.
Vous pouvez par exemple, utiliser un ordinateur pour la classe avec une imprimante.
Vous pouvez préférer l'utilisation des smartphones des élèves ou de tablettes à disposition.
Vous pouvez par exemple, utiliser un ordinateur pour la classe avec une imprimante.
Vous pouvez préférer l'utilisation des smartphones des élèves ou de tablettes à disposition.
L'élève peut facilement envoyer son résultat en faisant une photo à condition d'avoir du réseau.
Avoir les brevets à compléter sur papier implique de les imprimer. Soit à l'avance, soit avec une imprimante à proximité.
Avoir les brevets à compléter sur papier implique de les imprimer. Soit à l'avance, soit avec une imprimante à proximité.
Informer les acteurs
L'utilisation des smartphones est-il possible dans votre établissement? Quels accords sont-ils nécessaires? Il est toujours bon d'en parler à la direction.
De plus, le fait de donner le rôle "d'évaluateur" peut paraître incompréhensible. Il peut s'avérer utile d'expliquer la démarche, aussi aux parents. On pourra également les informer que Sqily pourra être un moyen de suivi de l'avancée de leur enfant.
De plus, le fait de donner le rôle "d'évaluateur" peut paraître incompréhensible. Il peut s'avérer utile d'expliquer la démarche, aussi aux parents. On pourra également les informer que Sqily pourra être un moyen de suivi de l'avancée de leur enfant.
Construire le parcours d'apprentissage
C'est le travail du didacticien qui commence ici par rapport au plan d'étude de la matière enseignée ou par rapport à des situations emblématiques du métier ciblé.
Quels savoirs (savoir savant - savoir faire - savoir être - savoir agir en situation), avec quelle temporalité et surtout avec quelle granularité / degré de finesse, vais-je structurer et jalonner le (les) parcours d'apprentissage que je dois enseigner ? Cette activité d’ingénierie pédagogique fondamentale est très enrichissante pour l'enseignant ou le groupe d'enseignants. Elle permet de se poser les bonnes questions et de mettre les idées au clair et devrait être faite pour chaque cours donné, quelque soit le support de cours ou la plateforme utilisée (Sqily ou pas).
Il est conseillé de commencer à travailler avec un outil tiers : post-it et tableau blanc en brainstorming avec d'autres enseignants par exemple, afin d'avoir une vue d'ensemble de la matière à faire apprendre et s'autoriser différentes configurations des savoirs à faire apprendre. Il ne faut pas trop détailler les compétences de manière à éviter leur profusion. Une estimation à la louche : en moyenne on peut envisager de manifester une compétence sur deux périodes de formation, ce qui fait que pour un cours de 40 périodes vous devriez proposer une vingtaine de compétences grand maximum. Moins, c'est ok. Plus, il vaut mieux éviter. Si vous avez identifié trop de compétences, essayez de les assembler en groupes de compétences, en utilisant les listes de tâches. Souvent, pour une compétence donnée, il faut maîtriser plusieurs ressources (savoirs et savoirs-faire) qui pourront être indiquées dans la liste de tâches de la compétence à maîtriser.
L'arbre des compétences se dessine automatiquement, mais il est possible d'influencer son rendu final en jouant sur l'ordre de création des items de compétences, les groupes de compétences et les compétences pré-requises. Avec un peu de pratique, on parvient à obtenir un graphique simple et élégant.
Quels savoirs (savoir savant - savoir faire - savoir être - savoir agir en situation), avec quelle temporalité et surtout avec quelle granularité / degré de finesse, vais-je structurer et jalonner le (les) parcours d'apprentissage que je dois enseigner ? Cette activité d’ingénierie pédagogique fondamentale est très enrichissante pour l'enseignant ou le groupe d'enseignants. Elle permet de se poser les bonnes questions et de mettre les idées au clair et devrait être faite pour chaque cours donné, quelque soit le support de cours ou la plateforme utilisée (Sqily ou pas).
Il est conseillé de commencer à travailler avec un outil tiers : post-it et tableau blanc en brainstorming avec d'autres enseignants par exemple, afin d'avoir une vue d'ensemble de la matière à faire apprendre et s'autoriser différentes configurations des savoirs à faire apprendre. Il ne faut pas trop détailler les compétences de manière à éviter leur profusion. Une estimation à la louche : en moyenne on peut envisager de manifester une compétence sur deux périodes de formation, ce qui fait que pour un cours de 40 périodes vous devriez proposer une vingtaine de compétences grand maximum. Moins, c'est ok. Plus, il vaut mieux éviter. Si vous avez identifié trop de compétences, essayez de les assembler en groupes de compétences, en utilisant les listes de tâches. Souvent, pour une compétence donnée, il faut maîtriser plusieurs ressources (savoirs et savoirs-faire) qui pourront être indiquées dans la liste de tâches de la compétence à maîtriser.
L'arbre des compétences se dessine automatiquement, mais il est possible d'influencer son rendu final en jouant sur l'ordre de création des items de compétences, les groupes de compétences et les compétences pré-requises. Avec un peu de pratique, on parvient à obtenir un graphique simple et élégant.
3 tâches
- J'ai informé les acteurs de l'école
- J'ai informé les parents
- J'ai le matériel nécessaire